Dans une société de droit moderne, où la transparence est proclamée comme une valeur incontournable, il est profondément préoccupant de constater des manquements flagrants au sein de certaines administrations municipales. Les décisions, qui devraient être des réflexions communes destinées aux citoyens, se prennent parfois dans l'ombre, à l'abri des regards légitimes du public. Cependant, grâce à l'implication déterminée et rigoureuse de citoyens et médias, de nombreux mensonges propagés par les élus ont été mis en lumière. Ces révélations ont dévoilé des rapports méticuleusement cachés et refusés au public, renforçant un climat de méfiance grandissant parmi les citoyens, les véritables détenteurs de ce droit à l'information.
Il est à la fois alarmant et inacceptable de voir des lanceurs d’alerte, ces champions de la vérité et de l’éthique, subir des intimidations aussi bien directes qu'indirectes. La démocratie ne saurait exister sans l'intervention courageuse de ces individus qui osent affronter le statu quo pour le bien commun. En cherchant à les museler sauvagement ou hypocritement, c'est la voix de la justice elle-même que l'on cherche à étouffer. Afin de restaurer la confiance, il est crucial que les administrations municipales adoptent des politiques de transparence proactive. Chaque citoyen doit posséder non seulement le droit, mais aussi la véritable possibilité de s'informer et de participer pleinement au processus décisionnel, notamment grâce à des conseillers impartiaux, objectifs et correctement informés par leurs directions.
Nous devons façonner un environnement où la vérité triomphe, où les élus répondent aux attentes des citoyens qu’ils servent, et non à des intérêts cachés. En rétablissant un dialogue honnête et ouvert, nous pourrons bâtir des communautés réellement engagées et démocratiques, où chacun a sa place et son mot à dire tout en assumant les sacrifices nécessaires qui découleront immanquablement de cette même vérité. compennant des choix difficiles
Dans une lettre intitulée « Transparence et liberté de parole : des éléments essentiels pour résoudre la crise dans les municipalités », des citoyens de Saint-Boniface expriment leur profonde conviction que l'État ne peut se permettre de rester les bras croisés alors que le climat social se détériore.
Il convient de souligner que Nancy Lacerte a été gravement affectée par des accusations non fondées de désinformation par le maire sans qu'aucune justification ne soit donnée. Le maire, quant à lui, n'a jamais présenté d'excuses ni offert la moindre preuve, même pas le commencement d'une justification en plus d'écrire une longue lettre public ''politique '' en guise de réponse.
C'est de la politique, tout simplement, une politique arriérée qui semble négliger les exigences de notre temps. Nous sommes en 2024, Monsieur le Maire, et il est temps d'agir avec intégrité et responsabilité.
À ceux qui s'empressent de crier à la diffamation, il est essentiel de rappeler qu'un mensonge reste un mensonge, et cela ne saurait être toléré !
A-t-elle eu droit à ça soirée de reconnaissance des bénévoles ? NON ! La ligne est ténue entre ceux qui reçoivent des lettres honorifiques de la chambre des communes (voire plus bas) et ceux qui sont injustement bannis. Les citoyens qui ne fréquentaient pas régulièrement la bibliothèque sont-ils conscients de l'affront brutal infligé à une femme qui défendait la culture, la transparence et la justice ?
Comme vous pourrez le constater avec les liens suivants, Mme Rodrigue n'est pas un cas isolé illustrant le manque total de considération des citoyens par certains élus, qui vont même jusqu'à lâcher des phrases du genre : "Vous avez juste à aller voter pour quelqu'un d'autre dans 4 ans", "M'a te la fermer, moé", "Elle était mêlée...", "...eee, eux, c'était des incompétents."
La gestion municipale présente des lacunes préoccupantes, caractérisées par des contrats controversés mal étudiés et la négligence notable du dossier de l'hôtel de ville. Les décisions prises dans un climat d'opacité suscitent des interrogations sur l'intégrité du processus décisionnel.
Les citoyens ont légitimement le droit de questionner les motivations sous-jacentes à ces choix, surtout lorsque certains projets semblent favorisés au détriment de l'intérêt public. Ce manque de transparence engendre une atmosphère de méfiance et laisse entrevoir des apparences de conflits d'intérêt, ternissant ainsi la réputation des élus.
Il est impératif de restaurer cette confiance à travers une gouvernance éthique et transparente, où chaque décision est dûment justifiée, documentée et expliquée aux personnes concernées INCLUANT LES ÉLUS.
Se cacher derrière l'ignorance du fond de l'affaire, la nonchalance ou le déni constitue une approche inacceptable.